Mercredi 31 Juillet 201312°C
29°C
Petit à petit les températures remontent.... pour arriver aux 35°C ces prochains jours.
Je croyais en avoir fini avec les grosses chaleurs.
La blague du jour
Le club des fatigués
Les 12 règles d’or du Club des Fatigués.
1. Sois infatigable au repos.
2. Si tu vois quelqu’un qui cherche à se reposer, aide-le.
3. Rappelle-toi que le travail est sacré, n’y touche pas.
4. Si par hasard tu trouves du travail, avise le bureau des objets trouvés.
5. Ce que tu peux éviter de faire, fais le faire par un autre.
6. Si l’envie de travailler te prend, assis toi et attend que ça passe.
7. Ne te fatigue même pas à tuer le temps, puisqu’il travaille pour toi.
8. Si par mégarde tu tues le temps, utilise le temps mort pour ne rien faire.
9. Oublie les vieux travaux et laisse les nouveaux devenir vieux.
10. Ne reste pas debout lorsque tu peux t’asseoir, ne reste jamais assis lorsque tu peux t’allonger.
11. Si tu es victime d’une farce, surtout ne marche pas, reste assis.
12. N’écoute pas des histoires à dormir debout.
Les Restos du Coeur retrouvent le portrait de Coluche.
Le mois dernier, le photographe du fameux portrait en noir et blanc de Coluche avait porté plainte contre l'association pour contrefaçon. Les deux parties sont finalement parvenues à un accord.
Le portrait de Coluche, avec son regard bienveillant et son sourire narquois, avait disparu des 2040 centres des Restos du Ceur.
Il va désormais pouvoir les réintégrer. Lundi, l'association et Gaston Bergeret, le photographe auteur du célèbre cliché de l'humoriste qui a fondé les Restos, ont mis fin au litige les opposant à propos de l'usage de cette photographie.
En 1985, Gaston Bergeret et Coluche avaient passé un simple accord oral pour une utilisation gratuite de la photographie, à condition que celle-ci soit utilisée sur un support traditionnel d'affichette sur les lieux des repas des Restos du cœur.
Cependant, ces dernières années, le photographe a estimé que l'association utilisait sa photo de façon abusive. Il lui reprochait surtout de la modifier sans son accord et de s'en servir parfois à des fins commerciales. Gaston Bergeret prend notamment l'exemple du dernier spectacle des Enfoirés où la photographie qu'il a réalisée est affublée d'une moustache pour être ensuite intégrée dans une collection de tee-shirts édités par une société commerciale, Eleven Paris.
Une utilisation dans le respect de l'auteur.
Dans sa plainte, Gaston Bergeret réclamait également des droits d'auteur aux Restos.
Cependant, selon ce nouvel accord, plutôt favorable à l'association, il renonce à toute indemnisation pour le passé.
Par ailleurs, il ne remet pas en cause l'avenir de son engagement initial, à savoir la gratuité de l'utilisation de la photographie, dans le cadre des activités des Restos du cœur. L'association s'engage de son côté à respecter le droit moral de l'auteur et veille ainsi à ce que le portrait soit utilisé sans déformation.
Le portrait du fondateur des Restos devrait également réapparaître sur le site internet de l'association.
Jean-Pierre Mocky : "Si peu de monde pour l'enterrement de Bernadette Lafont, c'est dégueulasse".
Entre 150 et 250. C'est en tout et pour tout le nombre de personnes présentes aux obsèques de l'actrice Bernadette Lafont, décédée jeudi dernier à l'âge de 74 ans, après avoir été hospitalisée au CHU de Nîmes suite à un malaise cardiaque.
La figure représentative de la "Nouvelle Vague" a été enterrée hier dans le petit village de Saint-André-de-Valborgne dans le Gard, sa région natale. Pour rendre un dernier hommage à sa collègue et amie, l'acteur et réalisateur Jean-Pierre Mocky était présent lors de la cérémonie.
Invité au festival "Un réalisateur dans la ville", Jean-Pierre Mocky est présent dans la région de Nîmes jusqu'à mercredi soir.
Il n'a pas manqué de faire savoir à nos confrères du Midi Libre qu'il déplorait le peu de personnalités du septième art ayant fait le déplacement pour cet enterrement.
"Si peu de monde pour son enterrement, c'est dégueulasse. Même si Bernadette était quelqu'un de solitaire et indépendant, le cinéma devait être là. Or, même pas l'équipe de son dernier succès Paulette n'est venue. Quand on pense aux foules qu'il y a eu pour l'enterrement de Brialy, sans parler de celui de Raimu. Décidément, il ne faut pas mourir en juillet", s'est-il ému.
En Juillet d'accord, mais aussi loin de Paris...
Dominique Lavanant remplace Bernadette Lafont dans la suite du "Petit Nicolas".
Alors que ses obsèques viennent juste d'être célébrés hier dans le petit village cévenol de Saint-André-de-Valbogne, on a appris que la production de la suite du "Petit Nicolas" a déjà trouvé une remplaçante à Bernadette Lafont.
Décédée jeudi 25 juillet à l'âge de 74 ans, la comédienne devait en effet reprendre son rôle de grand-mère du "Petit Nicolas" dans la suite au cinéma des aventures du petit héros de Sempé et Goscinny.
Le film est d'ailleurs actuellement en tournage à Noirmoutier et s'intitulera "Les vacances du Petit Nicolas".
Selon Le Parisien, les producteurs ont finalement choisi Dominique Lavanant pour reprendre le rôle. L'actrice des "Bronzés" et Bernadette Lafont se connaissaient bien puisqu'elles avaient été toutes les deux à l'affiche du dernier film de Jérôme Enrico, "Paulette", sorti en janvier 2013.
Cette comédie dramatique sur une vieille dame sans-le-sou se lançant dans le trafic de cannabis avait attiré plus d'1 million de curieux en salles.
Dans "Les vacances du Petit Nicolas", tiré du roman éponyme de Sempé et Goscinny paru en 1962, Dominique Lavanant retrouvera Kad Merad, Valérie Lemercier, mais aussi François Damiens et un nouveau "Petit Nicolas" nommé Mathéo Boisselier.
Comme pour le premier opus, la réalisation sera confiée à Laurent Tirard pour une sortie en salles prévue en juillet 2014.
Record d'audience historique pour M6.
Adapté pour la première fois en 2009, "Le petit Nicolas" avait été le plus gros succès français de l'année en rassemblant 5,5 millions de spectateurs en salles. Cette comédie familiale avait ensuite fait le bonheur de M6 , producteur du film.
Diffusé pour la première fois en septembre 2011, le long-métrage avait attiré 7,3 millions de télespectateurs sur son antenne, soit le record d'audience historique de la chaîne pour un film.

Il cambriole une maison, oublie son portable, appelle la police et...
Le jeune cambrioleur est tombé directement dans le piège tendu par un policier.
Dans la nuit de lundi à mardi, une patrouille de la Brigade anti-criminalité (BAC) de Gagny (Seine-Saint-Denis), est intervenue sur un cambriolage dans une maison, à la suite du déclenchement de l’alarme.
Un individu a été interpellé en flagrant délit par les policiers. Il était en possession d’un brise-vitre et de bijoux dérobés dans le pavillon, rapporte le site de "La Dépêche".
Par contre son complice a réussi à prendre la fuite, en oubliant sur les lieux du cambriolage, son
téléphone portable.
De retour au commissariat, les policiers ont placé sous scellés ce téléphone portable qui, peu de temps après, s’est mis à sonner… Et à l’autre bout du fil, le jeune cambrioleur étourdi !
Selon une source proche de l’enquête, le cambrioleur a vraisemblablement cru qu’un particulier avait ramené son téléphone à la police. Le policier lui a alors conseillé de venir récupérer son portable directement au commissariat.
Une fois sur place, le jeune cambrioleur, qui ne se doutait pas du piège tendu par les policiers, a été interpellé et placé en garde à vue.
Les gaietés du Sarkothon.
Un excellent billet de Monsier Debernardi.
Lorsqu’il trônait à l’Élysée, Nicolas Sarkozy n’avait pas de mots assez durs pour dénoncer la France des “assistés”. Honte aux profiteurs du système qui, sans jamais rien assumer, s’appliquent à vivre sur le dos d’autrui !
Mais voici que l’intransigeant tribun, mauvais gestionnaire de campagne, lègue une ardoise de 11 millions d’euros à son parti. Un autre, profil bas, aurait commencé par s’en excuser.
Lui revient dans l’arène politique d’un pas glorieux.
Et lance aux compagnons de l’UMP, en inversant superbement les rôles :
“Je ne vous laisserai pas tomber !”
Le chantre du “travailler plus” redécouvre soudain les vertus de la solidarité.
Le pourfendeur des “hausses d’impôts” lance une souscription auprès de ses électeurs. Voter pour lui ne suffit plus, il faut casquer.
C’est pour la bonne cause, pensez donc ! Il s’agit de rembourser l’argent perdu par sa coupable légèreté.
Après l’opération “pièces jaunes”, la collecte des gros biftons… Le petit peuple des militants, pas rancunier, met aussitôt la main à la poche.
En l’espace de deux mois, la somme se trouve déjà recouverte à 80%. Bravo. M.Sarkozy, “sauveur” autoproclamé de l’opposition, a versé 7500 euros. “Peut-être aurait-il pu consentir un effort supplémentaire” ose grincer Bernard Debré. Pff !
Plutôt que casser sa tirelire, l’ex-chef de l’État préfère prendre la plume. Les généreux donateurs se consoleront avec la lettre de remerciements qu’il vient de leur adresser. En toute simplicité…
Il est fort Sarko : sans vaseline !
Je vous souhaite une bonne journée !