Ça change : il pleut ! C'est de l'humour !
Météo France nous promet quand même le retour du soleil et des températures plus conformes, pour le début de la semaine !
Il était temps ! (Sans jeu de mots)
La blague du jour
La cuve à mazout
Deux copains discutent :
- J’en ai marre, c’est la deuxième fois qu’on me vide ma cuve à mazout pourtant la bouche de remplissage est bien cachée sous une vasque de fleurs !
- Moi j’ai résolu le problème, lui dit son ami, j’ai acheté un gros bouchon rouge avec MAZOUT marqué dessus en blanc
!
- T’es fou ? Ils n’ont même plus à chercher ! ! !
- Ben ouais, mais le tuyau n’est pas relié à ma cuve à mazout … Il est raccordé à ma fosse septique et ça fait trois fois que les cons me la vide gratuit en six mois !
Aujourd'hui une pensée toute particulière pour Aurélien : le compagnon de ma fille Alex, qui à l'heure où j'écris ces lignes, est en train d'embarquer en avion, avec ses compagnons militaires, pour une longue mission au Tchad.
Retour en octobre....
Visite à la caserne de Valence : Ma petite Elisa sur un char avec Aurélien.
Pendant l'absence d'Aurélien, Alex va être bien occupée entre les démarches judiciaires pour récupérer sa fille et un nouveau job à Valence.
Elle n'aura pas eu le temps de chômer.
Elle termine son travail à Moirans le vendredi 7 Juin et commence le lundi 10 juin, dans une entreprise à 10 minutes de chez elle.
Terminés les trajets Valence/Moirans/Valence.
Une entreprise où elle a été reçue hier en grande pompes.
Dès son CV déposé elle a été aussitôt convoquée pour un entretien.
Entretien très positif et qui a donné satisfaction aux 2 parties.
Elle va oeuvrer dans un domaine "top secret".
Elle a l'habitude, elle a réalisé des pièces pour un satellite qui tourne au dessus de notre tête actuellement !
Elle perd ses bras et ses jambes après des injections pour augmenter le volume de ses fesses.
Elle voulait des fesses plus rebondies et cela a failli lui coûter la vie.
Apryl Michelle Brown, une ancienne coiffeuse de 46 ans, de Los Angeles, a failli mourir et a dû être amputée des jambes et des bras après s’être fait injecter du silicone dans les fesses pour avoir un derrière plus rebondi. Sauf qu’il s’agissait de mastic et pas de silicone, rapporte le tabloïd britannique The Sun.
Deux femmes viennent se faire coiffer dans le salon d’Apryl.
L’une d’elle organise chez elle des "pumping parties", des fêtes où les participantes se font gonfler les fesses via des injections de silicone. Complexée depuis longtemps par un fessier en forme de pancake, Apryl décide de participer à l’une de ces fêtes.
En un quart de seconde, j’ai pris la décision d’aller chez elle et de me faire injecter du silicone.
Une décision qui a bien failli lui coûter la vie.
Je n’ai pas compris que c’était dangereux. Je pensais que ces injections étaient inoffensives et qu’elles me donneraient un derrière parfait. Mais en réalité, le silicone n’était pas approprié à une utilisation sur les humains, a-t-elle raconté au Sun.
En échange d’un peu moins de 800 euros, la femme, qui n’avait aucune formation médicale, lui a fait les injections à son domicile, dans la chambre de sa fille. Mais après chaque injection, la douleur est insoutenable.
J’avais tellement mal que mourir aurait été un soulagement.
Elle a alors une révélation. En quittant sa maison, je me duis dit: "Qu’est-ce que je suis en train de faire? Je ne sais absolument pas ce qu’elle m’injecte dans le corps."Je n’y suis jamais retournée. Mais je ne savais pas que ma vie avait déjà changé à tout jamais.» En effet, le corps d’Apryl fait une forte réaction allergique.
Durant les deux années qui ont suivi, la zone où elle a subi les injections s’est durcie et sa peau s’est noircie.
Je savais que quelque chose n’allait pas, mais j’avais trop honte pour aller voir un médecin. J’ai ensuite ressenti des brûlures si intenses que j’ai dû dire à mon médecin ce que j’avais fait. J’avais tellement honte.
Apryl a passé les quatre années suivantes en souffrant constamment. Un trou a ensuite commencé à se former sur ses fesses, démarrant une infection qui lui a été quasiment fatale l’été suivant.
J’avais tellement mal que mourir aurait été un soulagement, se souvient-elle.
Gangrène
Les médecins l’ont alors plongée dans un coma artificiel pendant deux mois, et ont réalisé 27 opérations, commençant par amputer ses fesses et greffant de vastes pans de peau. Ils m’ont sauvée, mais la gangrène s’était installée dans mes mains et mes pieds. Ils m’ont réveillée peu avant de m’amputer des quatre membres.
J’ai connu des moments très difficiles. J’ai beaucoup pleuré. J’étais accablée par la honte et la culpabilité… Tout ça parce que je voulais un derrière plus gros.
Elle a passé six mois à l’hôpital, et a pu remarcher à la fin de l’année 2011.
Je pense que j’ai survécu pour partager mon histoire. Je veux prévenir les gens des dangers des opérations esthétiques au noir. Nous sommes nés parfaits. Mon message, c’est : nous devons apprendre à nous aimer et nous accepter tels que nous sommes.
J'aurais pu lui en donner un peu beaucoup de mes fesses !
Je vous laisse méditer sur le aléas de la chirurgie esthétique... je vais préparer ma ratatouille.
C'est un peu plus long que d'habitude.
Une fois que j'ai mis tous les ingrédients dans un grand plat à gratin (sauf des aubergines que je n'aime pas), je mélange bien les légumes, un petit filet d'huile d'olive par dessus et hop, je la fais cuire au four : le goût est incomparable !
Je vous souhaite une bonne journée !
Dieter Zorn, était un herpétologue affranchi. Passionné de reptiles, il aidait le public à surmonter la peur des serpents.
Mardi, vers 19 h, en plein spectacle à Faugères, au nord de Béziers, et alors qu’il manipulait une vipère aspic, il a été mordu. Il est décédé quelques minutes plus tard d’un arrêt du cœur. Dieter Zorn faisait la tournée des villages des hauts cantons de l’Hérault. À 53 ans, il vouait son temps aux serpents et aux reptiles en général, qu’il présentait comme des animaux inoffensifs. Il n’est pas sûr que mardi soir il soit parvenu à ses fins. C’est presque en direct qu’une salle pleine de curieux a assisté à sa mort.
Mordu plusieurs fois.
Alors qu’il manipulait, comme il le faisait tous les soirs, une vipère aspic, cette dernière s’est retournée contre lui. Dieter a été mordu à plusieurs reprises par l’animal qui avait toujours ses crochets à venin. L’homme a alors eu le temps de poser l’animal en sécurité dans son vivarium pour qu’il ne blesse personne. Puis les pompiers sont arrivés sur place.
Dans un premier temps, tout allait bien pour l’herpétologue.
Mais devant le nombre de morsures de ce serpent qui reste un serpent dangereux quoi qu’on en dise, le Samu est intervenu pour placer la victime sous héparine. Un produit qui liquéfie le sang et empêche la constitution de caillots. C’est là que Dieter a fait un premier arrêt cardiaque, puis un autre. Les médecins sur place n’ont rien pu faire pour le ramener à la vie malgré un long massage.
Mardi soir, il montrait ses bestioles aux curieux.
L’herpétologue Dieter Zorn montrait toutes sortes de reptiles. Des crocodiles aux scorpions en passant par des mygales ou encore des serpents tels que des pythons, dont l’un d’eux faisait plus de six mètres.
Mardi, en fin d’après-midi, le public composé de jeunes et de moins jeunes participait à la manipulation des animaux. Pour apprivoiser les peurs, les plus téméraires pouvaient s’avancer et toucher les bêtes maintenues sous bonne garde par le spécialiste.