Jeudi 27 Juin 201310°C
Soleil voilé le matin et..... pluie l'après-midi.
Il est tellement voilé le soleil, que je ne l'ai encore pas vu à 8h30 !
Il Grasse mat !
Moselle : un maire prend un arrêté pour que la pluie ne tombe pas.
Philippe Slendzak, le maire de la petite commune de Yutz, en Moselle, a pris un arrêté afin d’empêcher la pluie de tomber sur sa ville, le temps d’une inauguration.

Le 31 mai dernier, le maire de la petite ville de Yutz, en Moselle, Philippe Slendzak, voulait à tout prix que l’inauguration du nouvel espace vert de la ville qui a eu lieu le dimanche 23 juin ainsi que la fête de la musique se passent sous le soleil et dans les meilleures conditions possibles. Etant donné que la météo n’affichait rien de bon, le maire de Yutz a décidé de prendre un arrêté afin d’empêcher la pluie de tomber. Il a expliqué aux journalistes de TF1, "cela faisait des semaines que les services techniques de la ville travaillaient à l'inauguration de l'Aéroparc, un grand parc urbain de 43 hectares situés sur un ancien aérodrome. Celui-ci a nécessité plus de 4,5 millions d'euros d'investissement."
Un arrêté pour détendre ses équipes
Alors, "pour faire rire et déstresser" les équipes chargées des "installations techniques à réaliser avant
l'ouverture", Philippe Slendzak a eu l’idée d’écrire un petit communiqué : "Pour permettre, dans de bonnes conditions, l'inauguration de l'Aéroparc ainsi que le bon déroulement de la fête
de la musique, il est formellement interdit à la pluie de tomber sur ce site jusqu'au 23 juin."
La pluie ne lui a pas obéit.
Malheureusement, la pluie est tombée lors de l’inauguration de l’Aéroparc, ce dimanche. Mais le maire, l’a pris avec humour : "la plupart des gens présents sont venus me dire en riant que
la pluie ne m'avait pas écouté."
Je crois que je vais prendre un rendez-vous à la mairie.
La blague du jour
Le
stationnement
Une vieille dame désirant stationner son automobile voit enfin une place disponible. Elle fait les manœuvres
nécessaires mais… tout à coup… Une automobile sport se faufile à grande vitesse dans "sa" place de stationnement. Un jeune sort de l’automobile tout fier et dit à la dame :
- JEUNE et RAPIDE !
La dame vexée recule alors son automobile pour prendre de l’élan et rentre à toute vitesse dans l’automobile du
jeune. Elle dit alors au jeune avec un sourire en coin :
- VIEILLE et RICHE !
Un détenu libéré pour conditions de détention indignes ?
Une juge d'instruction a ordonné la remise en liberté d'un prisonnier de Bois-d'Arcy. Le procureur a fait appel.
La décision est rarissime. Une juge d'instruction du tribunal de grande instance de Versailles a ordonné cette semaine la remise en liberté d'un détenu en raison de ses conditions de détention indignes. La démarche de la juge n'a pas plu à sa hiérarchie et notamment au procureur, qui a immédiatement fait appel.
Sur place pour un interrogatoire.
C'est à la suite d'une visite à la maison d'arrêt de Bois-d'Arcy pour un interrogatoire que la juge d'instruction a été interpellée par les conditions de détention du prisonnier qu'elle devait interroger. Ce dernier dénonçait en effet lui-même l'insalubrité de sa cellule. Me Stéphane Sebag, l'avocat du prisonnier, a assisté à la visite avec la juge d'instruction et confirme l'insalubrité du lieu. "Voir ce grand garçon qui fait 1m94 ne pas pouvoir se lever et accomplir toutes les choses de la vie quotidienne, c'est insupportable", estime-t-il au micro d'Europe 1.
Le constat est effectivement éloquent : une cellule de 9 m² pour deux détenus, un trou dans le plafond avec la pluie et le vent qui passent, une table et une seule chaise pour manger. Une configuration qui empêche les détenus de se déplacer entre les deux lits, ce qui les contraint à passer l'essentiel de leur temps allongé.
"Au-dessus de son lit, mon client a un trou".
"Entre les deux lits, il y a un espace de 50 cm², deux personnes ne peuvent pas passer en même temps. Au dessus de son lit, mon client a un trou. Donc il a le choix de se faire mouiller le visage quand il dort, ou alors les pieds. Pour manger, il y a une table, sur cette table, des réchauds que les détenus confectionnent eux-même. C'est très simple, dans cette cellule, c'est tellement exigu que l'on est obligé de rester allongé toute la journée", abonde l'avocat. Ce dernier salue d'ailleurs le caractère "rarissime" et "courageux" de la démarche de la juge d'instruction. Même si cette libération n'est pas encore actée.

Une honte ! Mais de là à le libérer... On pouvait lui trouver un autre "domicile".
Pêle-mêle de situations aberrantes pour l'accès des handicapés.
(et humour en dessin).
(escaliers)
Il y a vraiment des "handicapés du cerveau" !
Je vous souhaite une bonne journée !