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Jeudi 27 Février 2014

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Jeudi 27 Février 20141°C

                                      5°C

Pas bien hautes les températures après les giboulées de neige hier....

Nos sommets ont retrouvé un chapeau blanc !

 

Il part au bar et oublie son fils dans la voiture.

 

C'est une passante qui a appelé la police, voyant un bambin de 3 ans en pleurs, enfermé dans une voiture, à Rochefort, un soir à 22 heures, lit-on sur le site de Sud Ouest. Les faits ont eu lieu la semaine dernière... L'enfant transpirait, de la buée apparaissait sur les vitres. 
Les policiers, sur place, ont décidé d'aller interroger le voisinage et notamment la clientèle d'un bar. Là, un homme de 41 ans a reconnu que le véhicule était à lui. Il pensait simplement que les policers étaient là car sa voiture génait... Et c'est seulement en voyant l'enfant qu'il a compris. Celui-ci a été ramené à sa maman. Le papa, qui était ivre, sera poursuivi pour délaissement de mineurs. L'enfant bénéficiait déjà d'un suivi social.

 

         Rochefort : il part au bar et oublie son fils de 3 ans dans la voiture

 

Un ancien PDG accuse la Française des Jeux d’avoir trompé les joueurs

 

Gérard Colé, ancien président de la Française des Jeux de 1989 à 1993, accuse l’entreprise d’avoir trompé les joueurs en leur faisant croire qu’il y a dans les jeux de grattage "une égalité des chances qui n’a jamais existé",.
"Je me tiens à la disposition des magistrats afin s’ils le souhaitent d’être entendu" dans la procédure opposant l’entreprise à Robert Riblet, un ingénieur à la retraite, ajoute l’ex-PDG.
Robert Riblet a engagé en 2006 une procédure pénale contre la société, estimant que la détermination et la répartition des gains n’a rien d’aléatoire. Une instruction est actuellement en cours.
L’ancien ingénieur a, en parallèle, assigné la Française des Jeux devant les juridictions civiles. Il a été débouté et condamné en août à verser à l’entreprise 10.000 euros de dommages et intérêts. Le juge a estimé qu’il n’avait pas apporté la preuve que le rôle du hasard avait été faussé par la FDJ.
"J’ai été consterné par cette décision et j’ai décidé de réagir", indique Gérard Colé, qui affirme que les arguments de Robert Riblet sont «fondés».
Ce dernier mène un combat acharné contre l’entreprise depuis qu’il s’est aperçu que les tickets n’étaient pas répartis au hasard, mais par livrets. Dans trois livrets sur quatre, il n’existait qu’un seul "gros lot" supérieur ou égal à 20 euros, les autres tickets étant soit perdants soit porteurs de montants "dérisoires", avait-il dénoncé.
Une fois le "gros lot" remporté, les tickets continuaient d’être vendus, ce qui constituait, selon lui, une "rupture d’égalité" entre les joueurs.
"Des milliers de joueurs ont été lésés" depuis la mise en place du premier jeu de grattage en 1989, estime Gérard Colé qui assure ne pas avoir été au courant de cette pratique lorsqu’il était à la tête de l’entreprise.
Le but était "de faire rejouer et de doper le chiffre d’affaires des courtiers, des détaillants et de la FDJ", ajoute-t-il.
Après la révélation de l’affaire dans la presse, l’entreprise détenue à 72% par l’Etat avait modifié, en 2007, le règlement de ses jeux de grattage.
Mais, depuis, "il n’y toujours pas eu de législation convenable en la matière", déplore M. Colé.
La Française des Jeux n’a pas souhaité faire de commentaires.
 

   Archives AFP           

Il va falloir gratter à la Française des jeux !

 

J'abrège encore aujourd'hui mes écrits, j'ai des papiers à faire, aller chez Virginie à Voiron et préparer le repas...

 

Je vous souhaite une bonne journée !

 

Même si on est jeudi !

           


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