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Lundi 20 Janvier 2014. BON LUNDI !

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Lundi 20 Janvier 2014p00203°C

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Journée de grisaille et pluies... mais rien de comparable au sud de la France qui panse ses plaies.

 

Chez nous c'est un épisode neigeux qui est annoncé dans les heures à venir.

 

 

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 L'A43 sous la neige en janvier 2013. Photo illustration Le DL/Jean-François SOUCHET

 

 

 

 

 

 

Indonésie : Michaël Blanc est sorti de prison.

 

 

 

 

"Il est sorti de prison. Il a signé les papiers de sa libération", a indiqué sa mère, Hélène Le Touzey, qui vit en Indonésie depuis l’arrestation de son fils.

"Je suis heureuse, heureuse, heureuse", a déclaré Mme Le Touzey à la sortie de la prison de Cipinang, dans le sud de Jakarta.

Michaël Blanc n’a pas voulu faire de commentaires, "trop sous le choc", a-t-elle ajouté.

Le Français, âgé de 40 ans, avait été arrêté le lendemain de Noël 1999 à l’aéroport de Bali avec 3,8 kilos de haschich dans deux bouteilles de plongée.

Il avait affirmé qu’elles appartenaient à un ami qui les lui avait confiées pour les transporter. Condamné à la perpétuité, sa peine avait été commuée en 20 ans de réclusion en décembre 2008.

En l’absence de convention de transfèrement entre la France et l’Indonésie, Michaël Blanc devra rester dans l’archipel musulman jusqu’à la fin de sa peine, le 21 juillet 2017, plus une année de probation.

 

 

 

Le Français Michaël Blanc et sa mère, Hélène Le Touzey, à la prison de Cipinang, le 19 avril 2011 à Jakarta

 

 

 

 

Précision pour Soledad : Sa mère vit depuis son arrestation en Indonésie. Elle allait le voir tous les jours et s'occupait des autres prisonniers.

 

 

 

 

 

Florence Cassez, sa nouvelle vie à Annecy.

 

 

 

 

 

Le 23 Janvier il y aura un an qu'elle est LIBRE.

 

 

Son injuste détention au Mexique, entre décembre 2005 et janvier 2013, a laissé des traces.

Un an après sa libération, installée dans les Alpes, la jeune femme tente de renouer les fils d’un destin brisé. C’est encore le courage qui lui manque le moins…

Elle respire ici, maintenant, avec Fausto. Lui peut la comprendre, au moins, aimable Franco-Mexicain qui a quitté son pays d’origine pour fuir la violence et la corruption.

En connaissance de cause, l’exilé s’activait naguère dans le comité de soutien “à la petite Française”.

Du soutien à l’union, le pas sera vite franchi. Ils s’épousèrent en juillet à Dunkerque, six mois après que la belle ait retrouvé la liberté.

Et, là encore, quelques bonnes âmes y trouvèrent à redire. Sans trop ébranler la mariée : "J’ai un immense travail à accomplir, reconstruire ma vie. Alors, vous savez, le qu’en dira-t-on…"

 

 

 

 

Florence Cassez et son mari Fausto dans les rues d’Annecy. Avec ce chef cuisinier, elle se verrait bien ouvrir un restaurant dans la capitale haut-savoyarde.

 

 

 

 

 

 

Dans une vitrine new-yorkaise, des mannequins avec poils pubiens.

 

 

 

 

Parmi les passants, les avis sont très partagés: la chaîne de vêtements American Apparel a créé la controverse en présentant dans les vitrines de son magasin de Lower East Side, à New York, des mannequins en plastique avec poils pubiens.

Badauds et clients prenaient vendredi des photos, pouffaient de rire ou au contraire soulevaient les sourcils d'un air horrifié à la vue de ces mannequins vêtus de sous-vêtements transparents, à travers lesquels on pouvait clairement distinguer une épaisse toison pubienne.

 

American Apparel, qui n'en est pas à son coup d'essai en matière de campagnes marketing provocatrices, assure vouloir célébrer la "beauté naturelle" à l'approche de la journée - généralement prolifique pour le commerce - de la Saint-Valentin, le 14 février.

 

"Nous invitons les passants à explorer l'idée de ce qui est +sexy+, à voir dans quelle mesure ils se sentent à l'aise avec les formes naturelles de la femme et peut-être, et c'est le plus important, à venir essayer certains de nos ensembles préférés de la saison", a expliqué la directrice de création de la marque, Iris Alonzo.

 

Layla Khabiri, qui travaille dans un bar à vin et vit au coin de la rue, y voit un "subterfuge facile" pour faire grimper les ventes, reconnaissant toutefois que l'idée est intéressante et quelque peu "contre-culture".

 

"J'adore!", dit à l'AFP Marc Mangano, 41 ans. "C'est juste génial", lance-t-il, la cigarette au coin des lèvres. "Il y a un côté réel. Même si la plupart des femmes aujourd'hui se rasent un peu plus que ça...".

Étudiante, Minjung s'arrête aussi devant la vitrine. Est-ce que cela va la pousser à acheter ces lingeries? Non. "C'est cool, mais c'est quand même un peu bizarre".

 

Les mannequins en question sont présentés uniquement dans la boutique d'American Apparel sur East Houston Street, à Manhattan. Il n'est pas prévu à ce stade que l'idée soit étendue à d'autres magasins de la chaîne à New York, ou ailleurs aux Etats-Unis.

 

 

 

Désolée... pas de photos. A vous d'imaginer.

 

 

 

 

 

Je vous souhaite un bon début de semaine !

 

 

 

 

 

 

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