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Quelquefois dans la vie rien ne se déroule comme on le voudrait...
Je vous avais laissé(e)s avant-hier, avec l'idée d'aller faire mes courses, passer au labo où mes analyses étaient enfin arrivées de Lyon, faire le plein d'essence pour ma voiture etc.... mais c'était sans compter sur les emmerdes aléas de la vie...
Milieu de matinée, nous voilà donc parties Virginie et moi.
Au passage, puisque nous passons devant : "bigs bennes" ou "la maison des ordures"*, je m'arrête pour déposer mes ordures triées.
(Ce sont des locaux construits à l'image de maisonnettes, près des bâtiments, au bord de la route. Un de ces jours je vous mettrai une photo de "bigs bennes".)
Au même moment mon voisin Gérard gare sa voiture. Pendant que nous "taillons la bavette", Virginie après avoir vidé nos sacs d'ordures, me propose d'aller au labo, qui n'est pas très loin.
Virginie revenue, nous prenons congé de Gérard, mais au moment où je veux démarrer ma voiture : walou
! RIEN pas de ronronnement rassurant...
Gérard vole à mon secours et à l'aide de ses cables me fait démarrer.
Mais je sais que c'est une solution provisoire, elle va me refaire le coup ma Titine !
Je dis à Gérard que je vais la faire tourner quelques kilomètres et si je tombe à nouveau en panne je le rappelle à mon secours.
Quelques kilomètres plus tard, je me gare sur le parking du supermarché, coupe le contact : elle redémarre c'est OK !
Je passe à la station essence et je décide d'aller voir mon garagiste à 200 m de chez moi.
J'ai besoin qu'elle démarre sans problème le lendemain à 8h00 pour aller chez mon farfelu cardiologue, me faire poser un holter... (voir photo)
Le dimanche précédent elle avait déjà donné des signes de fatigue ma voiture, j'avais attribué ça à la batterie.
Effectivement il y a 10 ans qu'elle donne son jus !
Le garagiste me le confirme... 80 euros après ma voiture démarre au quart de tour !
Il est déjà presque midi nous remettons les courses au lendemain, après ma visite au cardiologue.
Ma visite chez le cardiologue farfelu à l'aube n'a servi à rien... l'appareil qu'il voulait me mettre avait un scratch défectueux et n'accrochait pas à mon bras. Il n'en n'avait pas d'autres, ils étaient partis sur d'autres bras....
"Tu viens d'où comme ça ?" me demande t-il.
"De Tullins !"
"Ben, t'as plus qu'à y retourner."
Farfelu ne me propose pas une autre tentative...Tant mieux si j'y échappe ! dans la salle d'attente un homme et une femme se plaignaient de ne pas avoir dormi de la nuit à cause de l'engin qui se gonfle et dégonfle toutes les 20 minutes !
J'ai moi-même passé une nuit blanche à cause de douleurs aux cervicales et impossible de trouver une position confortable... Je me suis levée pour aller chez Farfelu sans avoir fermé l'oeil et ça ne me dit rien de recommencer la nuit suivante...
Malgré tout il me dit qu'il
conseille à ma toubib un médicament supplémentaire. Comme je m'en étonne, ça fait 4 médicaments pour mon hypertension...
Il m'explique tout en baillant et s'étirant à plusieurs reprises, que celui-ci est un bêtabloquant et que je n'en n'ai pas...
Il m'explique mon docteur House :
Celui-ci a ça, celui-ci ceci, celui-là ça... bref ils me sont tous indispensables !
Si l'envie vous prend de jouer au médecin, voilà mon cocktail :
EUPRESSYL 30 mg : 1 matin et 1 soir
BIPRETERAX 10 mg : 1 matin
SEVIKAR 40 mg : 1 matin
SECTRAL 200 mg : 1/2 matin
Au retour de chez Farfelu comme convenu nous avons fait nos courses.
Retour presque midi... pas le temps de relater ma vie au fil des jours...
L'après midi j'ai récupéré un peu de ma nuit blanche, puis Francis et Françoise sont passés m'apporter des kakis. En nombre limités hélas, à ma demande, à cause de mon diabète....
En fin de matinée, aujourd'hui, j'ai encore rendez-vous chez ma généraliste : elle va "décrypter" mes analyses et me refaire une ordonnance.
Je dois également lui apporter mon relevé de tension. Elle m'avait demandé un tableau et noter ma tension plusieurs fois par jour en indiquant l'heure.
La blague du jour
Elevage de poulet
Un belge ayant vécu toute sa vie à Bruxelles en a soudain assez de la vie de citadin. Il décide de déménager pour la campagne, et de devenir éleveur de poulets.
Dans les environs de Charleroi, il trouve une jolie fermette à vendre pour pas trop cher. Il saute sur l’occasion et
l’achète.
Quelques jours plus tard, il reçoit la visite de son voisin immédiat, qui est, lui aussi éleveur de poulet.
Le voisin lui dit :
- Élever des poulets, de nos jours, ce n’est pas une mince affaire. Par solidarité, je vais te prêter 1000 poulets
pour t’aider à démarrer, sais tu. Tu me les rendras quand t’auras assez de sous devant toi.
Après l’avoir remercié, l’apprenti aviculteur rentre chez lui avec les poulets. Deux semaines plus tard, le voisin vient voir à quel stade en sont ses poulets.
Le nouveau lui dit :
- Oh, c’est pas terrible : Tous les poulets sont morts !
Le voisin n’y croit pas :
- Je n’ai jamais eu autant de perte sur mes poulets. Ils ont du avoir un coup de chaleur. Allez, je vais t’en prêter
1000 autres.
Deux nouvelles semaines passent. Le voisin affable vient à nouveau aux nouvelles :
- Je ne sais pas si je dois te le dire, mais tes 1000 poulets sont morts encore une fois. Il n’en reste plus un seul de vivant…
Le voisin incrédule demande :
- Mais qu’est-ce qui s’est passé ? Comment tu expliques qu’ils soient tous morts ?
Et l’autre répond :
- Ben je ne suis pas encore sûr… Ou bien c’est parce que je les plante trop profonds, ou bien c’est parce que je les
plante trop serrés….
Nelson Mandela est mort
Il disait qu'il n'était « ni un saint ni un prophète ». Il déplorait qu'on le présente comme « une sorte de demi-dieu ». Il insistait sur ses « erreurs », ses « insuffisances », ses « impatiences ».
Jusqu'au bout, tandis qu'on le fêtait à travers le monde, tandis que les Etats et les puissants lui tressaient des lauriers, lui dressaient des statues, lui décernaient des palmes et des récompenses, tandis qu'un peu partout on donnait son nom à des milliers d'écoles, d'universités, de rues, de places, de parcs et d'institutions diverses, jusqu'au bout il s'est voulu « un homme comme les autres, un pécheur qui essaie de s'améliorer ».
Nelson Mandela est mort à l'âge de 95 ans à son domicile de Johannesburg, a annoncé dans la soirée du jeudi 5 décembre le président sud-africain Jacob Zuma, en direct à la télévision publique. « Notre cher Madiba aura des funérailles d'Etat », a-t-il ajouté, annonçant que les drapeaux seraient en berne à partir de vendredi et jusqu'aux obsèques.
Il devrait être un exemple pour l'humanité toute entière.
Quand on en voit en ce moment s'entretuer à coups de machettes !
Je vous souhaite une bonne fin de semaine !
