Il pleut, il pleut.... A près de 8h30 il fait encore nuit !
Et je vais devoir "me mouiller" pour aller acheter mes journaux ! La poisse !
Dommage que personne ne me le lance jusqu'à mon 5ème !
Je ne vais pas trop me plaindre, quand je vois à la télévision ces affreuses images du typhon Haiyan aux Philippines... on redoute un lourd bilan : 10 000 morts....
Haiyan : les autorités craignent plus de 10.000 morts aux Philippines après le typhon.
Le précédent bilan, donné samedi soir par la Croix Rouge, annonçait 1.200 morts, après le passage sur le centre de l'archipel de Haiyan, accompagné de vagues de plusieurs mètres et de vents atteignant des pointes à 315 km/h.
"70 à 80% des constructions et des structures situées sur la trajectoire du typhon ont été détruites", a ajouté Elmer Soria.
"Les destructions sont énormes", a renchéri le secrétaire philippin aux Affaires intérieures Manuel Roxas. "Imaginez une bande d'un kilomètre le long de la côte: toutes les maisons, tout est détruit. Elles ont été balayées comme des allumettes". Maisons rasées, pylônes électriques au sol, voitures renversées et rues parcourues par des survivants hébétés: le paysage évoquait pour certains les destructions causées par le tsunami en Asie fin 2004.
Ce sont toujours les plus pauvres qui trinquent !
La blague du jour
Paris – New York
Sur un vol pour New York, le chef de cabine se dirige vers une femme blonde assise en première classe en lui
demandant de se déplacer en classe économique, puisqu’elle n’avait pas un ticket de première classe. La blonde répond :
"Je suis blonde, je suis belle, je vais à New York, et je ne bouge pas !"
Pour éviter de se disputer avec un
client, le chef de cabine fait part de la situation au copilote et lui demande de régler le problème en lui parlant. Il va parler à la blonde, en lui demandant de quitter la première
classe.
De nouveau, la blonde répond :
"Je suis blonde, je suis belle, je vais à New York, et je ne bouge pas !"
Le copilote retourne dans le cockpit et demande au capitaine ce qu’il devrait faire. Le capitaine lui répond
:
"Je suis marié à une blonde, ne vous inquiétez pas, je sais comment m’y prendre !"
Il va en première classe, et dit quelque chose tout bas à l’oreille de la blonde. Elle se lève immédiatement et court
en classe économique en râlant toute seule :
"Mais pourquoi personne ne m’a rien dit !"
Surpris, le chef de cabine et le copilote demandent au capitaine ce qu’il a dit pour réussir à la convaincre de
changer de siège. Et là il répond :
"Je lui ai dit que la première classe n’allait pas à New York".
Une prof britannique se fait virer pour "propos sexuellement explicites" récurrents.
Lindsay Black, une enseignante britannique de 28 ans, a été limogée notamment pour avoir harcelé un de ses élèves. Elle envoyait au jeune homme de 17 ans des SMS, des emails et des messages Facebook, pour lui demander des faveurs sexuelles.
Rentrer "dans la peau du personnage"
Lorsque les pratiques peu orthodoxes sont parvenues aux oreilles de la direction, Lindsay Black s'est défendue en invoquant une technique permettant aux futurs comédiens de se mettre "dans la peau du personnage".
Le garçon de 17 ans, qui avait obtenu le premier rôle dans la pièce de fin d'année, n'a dévoilé qu'après les divers messages qu'il avait reçu de son enseignante.
"Ce ne sont pas des actes isolés", a déclaré président de la commission Peter Williams.
"Le comportement de Mrs. Black est fondamentalement incompatible avec le métier d'enseignant agréé", a-t-il ajouté.
Lindsey Black dispose d'un mois pour faire appel de la décision. Elle ne pourra pas prétendre à un nouveau poste de professeur avant cinq ans.
Lindsay Black était professeur d'art dramatique dans un lycée catholique de la commune de Newport, en Galles du sud.
Selon le compte-rendu de la commission disciplinaire, l'actrice aurait régulièrement tenu des "propos sexuellement explicites" dans sa classe.
Pendant ses cours, elle aurait demandé aux élèves de se mettre debout s'il étaient encore vierges, ou encore de mimer certains actes sexuels.
En voilà une qui n'avait rien à faire dans l'enseignement...
Il a laissé pousser ses cheveux pendant 5 ans pour les donner à des patients atteints du cancer.
Colin Southwood est un petit garçon pas comme les autres. Ce n'est pas tous les jours qu'un enfant de 4 ans s'inquiète de la santé des gens. Lui, a décidé de se laisser pousser les cheveux pendant cinq ans, puis de les couper afin de les donner à un programme qui fait des perruques pour les patients atteints du cancer.
Colin, que sa mère, Denise Southwood, décrit comme curieux et énergique, pense qu'il a été inspiré par des publicités pour aider les enfants malades, ainsi que par certains de ses proches, atteints du cancer: sa grand-mère, deux arrière-grands-parents et un professeur à l'école.
Attristé, ce petit bonhomme, qui a aujourd'hui 10 ans mais qui pourrait en avoir 40, comme le dit sa mère, a donc décidé de se laisser pousser les cheveux. Pendant cinq ans, il n'est pas allé chez le coiffeur.
Sa mère raconte que ça n'a pas toujours été facile. Plusieurs fois, on l'aurait pris pour une petite fille. Mais Colin n'a jamais perdu de vue son objectif. Sa maman est très fière et très émue.
C'est en mai cette année qu'il a décidé que ses cheveux étaient assez longs pour les couper. Au programme Pantene Beautiful Lengths, il a donc donné approximativement 30 centimètres de ses longs cheveux.
Ce jour-là, il a aussi décidé d'écrire une lettre.
Bonjour, je m'appelle Colin et j'ai 10 ans. J'ai laissé pousser mes cheveux depuis que j'ai 4 ans. Je me demandais que faire avec, et je me suis dit que ce serait une super idée de donner mes cheveux à des gens et des enfants qui ont perdu les leurs à cause du cancer.
Je ne peux vraiment pas imaginer ce que ça fait de perdre ses cheveux et d'avoir le cancer. Donc j'ai juste coupé 30 centimètres de mes cheveux pour que vous puissiez faire de belles perruques pour ceux qui en ont besoin.
J'espère qu'ils se sentent mieux, plus heureux, et qu'ils ne souffrent pas trop du cancer.
Sincères salutations,
Colin Southwood
"C'est un bon garçon", dit sa maman. Tellement qu'il est déjà en train de laisser à nouveau pousser ses cheveux, pour un prochain don.
Même sous la pluie, je vous souhaite un bon dimanche !