18°C
Petite pluie du matin.... (chagrin, comme l'araignée ?)
En espérant que le soleil l'emportera sur son duel avec les nuages.
Hier, l'humidité ambiante qui régnait m'a obligée à avoir recours à mes chaussons chauffants, pour mes pieds gelés. Heureusement que je les ai ceux-là !
Ça ce sont les miens de chaussons micro-ondables.
Un petit sac à l'intérieur rempli de graines de lin et de lavande que l'on place 1 minute au micro-ondes, pour plus d'une heure de confort !
Prochain investissement :
Virginie me l'avais déjà fait remarquer, mais étourdie en me levant, j'avais peur d'oublier que j'avais les pieds dans le même sabot !
Treize morts dans une fusillade au sein de l'US Navy à Washington.
Les locaux de la marine américaine, dans le sud-est de Washington, ont été le théâtre de coups de feu lundi 16 septembre, qui ont fait treize morts et plusieurs blessés.
Le bilan est d'au moins treize morts.
Un premier bilan, donné sur Twitter par le chargé des relations publiques de l'US Navy, faisait état de quatre morts. Mais le bilan s'est nettement alourdi dans la journée. Le maire de la ville, Vincent Gray, a annoncé qu'il y avait "au moins 13" personnes tuées dans la fusillade.
L'une des victimes est l'un des tireurs. Le suspect décédé, Aaron Alexis, a été réserviste de la marine américaine de mai 2007 à janvier 2011. Il est ensuite devenu informaticien pour un sous-traitant de Hewlett-Packard chargé de mettre à jour l'intranet de l'US Navy et des Marines.
Un seul tireur impliqué.
Après avoir recherché un second suspect, les autorités américaines ont indiqué lundi qu'il n'y avait eu qu'un seul tireur, Aaron Alexis.
"Nous n'avons aucune preuve ni d'indication à ce jour, qu'il y ait eu un autre tireur, même si nous n'avons pas complètement exclu" cette hypothèse, a déclaré le maire de Washington, Vincent Gray.
"Nous sommes sûrs maintenant qu'il y avait une seule et unique personne responsable de la perte de vies dans l'immeuble", a renchéri la cheffe de la police de la capitale américaine, Cathy Lanier.
Ses motivations restent inconnues et "il n'y a aucune raison de penser à ce stade" qu'il s'agisse d'un acte terroriste, a affirmé de son côté le maire de Washington Vincent Gray, sans toutefois écarter d'office cette piste.
L'aéroport temporairement fermé.
Le site de Navy Yard, à Washington, abrite le quartier général du commandant des systèmes navals de la marine américaine. Un site où sont notamment conçus des navires et des sous-marins militaires.
Le trafic aérien a été temporairement interrompu à l'aéroport Ronald-Reagan, situé au sud de Washington, avant de reprendre.
S'il s'agit probablement d'un "incident isolé", selon la mairie de Washington, le Pentagone, siège de la défense américaine situé non loin de là, avait renforcé son dispositif de sécurité par précaution lundi.
Tout comme la partie du Capitole qui abrite le Sénat, bouclée par les autorités.
Le quartier, en reconstruction, a lui aussi été bouclé sur cinq pâtés de maisons alentours, tandis que les écoles du périmètre interdisaient à toute personne d'entrer ou de sortir.
Costa Concordia : le redressement du paquebot naufragé est achevé.
Vingt mois après le naufrage qui avait fait 30 morts et deux disparus, le navire de croisière a atteint la verticale vers 4 heures du matin, sous les applaudissements de la foule accourue sur les quais de l'île du Giglio.
Depuis 4 heures mardi matin, le Costa Concordia est de nouveau à la verticale. A la fin de l'opération de redressement titanesque du navire de croisière, qui a fait naufrage il y a vingt mois, les sirènes ont retenti dans le petit port toscan du Giglio, accueillies par des hourras de la foule rassemblée pour l'évènement.
"L'opération de rotation s'est achevée. Le bateau Costa Concordia a atteint la verticale, nous sommes arrivés à zéro degré", a annoncé fièrement à la presse Franco Gabrielli, le chef de la protection civile italienne.
Dans la nuit, l'imposante silhouette illuminée de l'ex-palace flottant, la moitié de la coque rouillée après vingt mois passés sur le flanc, se détachait, droite, devant le port, où des centaines de personnes se pressaient avec émotion.
"Le voir ressortir de l'eau est très émouvant pour moi. Je ne pouvais pas rater ça. J'aurais pu périr sur le bateau et en fait je suis là pour raconter mon histoire", a déclaré Luciano Castro, un rescapé.
Le maire adjoint du Giglio, Mario Pellegrini, qui avait été mobilisé toute la nuit du naufrage pour sauver les passagers, s'est dit "sous le choc".
Cinquante-six chaînes d'acier de 26 tonnes chacune, actionnées par d'énormes treuils, ont été utilisées pour mener à bien cette opération dite de «parbuckling» - un terme provenant de la marine marchande anglaise du XVIIIe siècle -, une rotation de la coque destinée à redresser l'épave.
Le coût du renflouement est évalué à 600 millions d'euros, soit plus de la moitié des pertes de 1,1 milliard d'euros couvertes par les compagnies d'assurances, qui surveilleront de près le déroulement de l'opération.
Maintenant qu'il est redressé, des spécialistes vont se mettre en quête des corps des deux disparus, une passagère italienne et un serveur indien. Leurs proches sont attendus aujourd'hui sur l'île du Giglio.
Un véritable exploit technique que j'admire !
Les clients d’un bar maîtrisent un braqueur et mettent en fuite son complice.
Deux malfaiteurs qui ont tenté dimanche de braquer avec des pistolets à gaz un bar-tabac à Rezé, près de Nantes, se sont heurtés aux clients qui en ont immobilisé un tandis que son comparse a pris la fuite.
À 13 heures 30 dimanche, deux hommes habillés de noir avec gants et cagoules, sont entrés dans le bar-tabac "Le Relax", armés chacun d’un pistolet.
L’un s’est mis debout sur le comptoir, l’autre est resté près de l’entrée et ils ont tiré à plusieurs reprises en l’air, en criant qu’il s’agissait d’un hold-up, provoquant la panique des clients.
Mais un des clients n’a lui pas paniqué : il a identifié les pistolets utilisés par les braqueurs comme étant des armes de défense.
Il a prévenu aussitôt les autres clients du bar qui ont plongé sur le premier malfaiteur à leur portée, un homme de 29 ans, le maîtrisant avant de le remettre à la police. Le second braqueur a pris la fuite.
Je vous souhaite une bonne journée !