Dimanche 1er Septembre 201315°C
24°C
Dans la continuité de la douceur climatique, en ce premier jour de septembre.
La blague du jour
Graine de champion
Dans la famille Dupont on est mécanicien de père en fils.
Aujourd’hui, le tout jeune fils de 12 ans vient de faire son premier tour en voiture tout seul……..Et il revient sans la voiture.
- Qu’est-ce qui se passe Enzo ? demande son père.
- Je crois que la voiture à de l’eau dans le carburateur, papa.
- Mais quel fils j’ai ! dit t-il en prenant la petite tête ronde de son fils entre ses mains. Il a à peine douze ans, il sait déjà conduire une voiture, et si elle tombe en panne, il sait dire ce qui s’est passé. Ah, ma petite graine de champion, tu seras un grand mécano comme ton papa toi aussi.
Et où as-tu laissé la voiture?
- Dans le lac papa !!!
Quelque chose me disait bien qu'il n'y en avait pas que dans le carburateur !
À 8 ans, il emprunte la voiture de ses parents et tue sa soeur de 6 ans.
C'est un véritable drame, qui bouleverse toute l'Amérique, qui s'est déroulé mercredi près de Phoenix (Arizona). La police locale a reçu une dizaine d'appels signalant que deux enfants étaient au volant d'une voiture, rapporte USA Today.
Un petit garçon de 8 ans avait en effet emprunté la voiture de ses parents.
Il était accompagné de sa cadette âgée de 6 ans.
Malgré les appels d'urgence, les secours n'ont pas pu intervenir avant qu'un drame ne se produise.
Les deux enfants ont percuté un poteau électrique. Gravement blessée, la petite soeur est décédée à l'hôpital des suites de ses blessures.
L'aîné, qui s'en sort avec une cheville foulée, aurait profité du fait que sa mère se soit endormie pour emprunter les clefs de la voiture familiale.
Il aurait ensuite entraîné sa soeur avec lui.
À son réveil, la mère qui ne retrouvait plus ses enfants aurait pensé à un kidnapping et prévenu les autorités.
Une maman virée d'un magasin parce qu'elle allaitait.
Vexée et humiliée". Ce sont les mots de Laëtitia, 41 ans, mère de trois enfants, contrainte par une commerçante de quitter son magasin parce qu'elle allaitait sa fille de 20 mois, nous apprend Sud Ouest.
Les faits se sont déroulés le vendredi 30 août, à Biscarosse (Landes).
Alors qu'elle allaite sa petite fille dans un magasin, la responsable l'aborde : "Madame, soit vous allaitez dans la réserve, soit vous quittez le magasin.
Vous choquez les clients". Laëtitia s'excuse.
Un client justement la rassure : selon lui, c'est plutôt la commerçante qui devrait s'excuser...
"Je ne me suis pas exhibée", s'insurge-t-elle. "J’étais en jean, je portais un pull avec un col en V pour pouvoir allaiter mon enfant discrètement".
Aujourd'hui, Laëtitia souhaite porter plainte. La pratique de l'allaitement n'est pas interdite en France. Et l'attentat à la pudeur, relève Sud Ouest, n'existe plus en droit depuis 1994.
"Une maman qui allaite, ce devrait être beau", soupire la maman. Certains ne semblent pas de cet avis...
Photo illustration.
Bien raison de porter plainte !
Inde: après le viol collectif d'une étudiante à New Delhi, un mineur condamné à la peine maximum de trois ans.
Un tribunal indien a condamné samedi un adolescent à trois ans de prison, la peine maximale autorisée, pour sa participation au viol collectif d'une étudiante à New Delhi décédée de ses blessures, une peine jugé trop clémente par la famille de la victime.
"Il a été jugé coupable de viol et d'assassinat et condamné à trois ans", a déclaré à la presse Anil Sharma, le responsable de l'enquête, en annonçant le premier verdict dans cette affaire qui avait ému tout le pays.
En raison de l'excuse de minorité retenue par la justice, l'adolescent, âgé de 17 ans au moment des faits, a été condamné à la peine maximale de trois ans à effectuer dans un centre spécialisé, en tenant compte du temps déjà passé en prison dans l'attente de son procès.
La mère de la victime a quitté le tribunal en larmes, clamant :
"Il a eu seulement trois ans (...), trois ans à partir de décembre dernier. Il aurait dû être jugé comme un adulte".
La famille de la victime avait réclamé la peine de mort pour l'adolescent, soutenant que la législation pour mineurs, qui vise à rééduquer plutôt qu'à punir, était trop clémente.
Une vingtaine de manifestants rassemblés devant le tribunal ont également exigé une sanction plus sévère, en criant "Pendez aussi des mineurs".
Un des suspects décédé en prison.
La jeune étudiante de 23 ans avait été violée par six hommes dans un autobus à New Delhi le 16 décembre 2012 et était décédée 13 jours plus tard dans un hôpital de Singapour des suites de ses graves blessures.
Son compagnon avait également été roué de coups.
Le procès des quatre suspects majeurs devrait s'achever dans les prochaines semaines. Le cinquième suspect adulte est mort en prison, apparemment d'un suicide.
Des milliers d'Indiens révoltés avaient manifesté après le viol, appelant à une prise de conscience sur la façon dont les femmes étaient traitées en Inde, et dénonçant l'apathie de la police et de la justice à l'égard des victimes d'agressions sexuelles.
Des groupes de défense des droits de l'enfant ont cependant appelé à la retenue après le verdict, affirmant qu'il fallait donner une chance de réhabilitation à l'adolescent, présenté comme victime lui même de l'inefficacité des services de protection de l'enfance en l'Inde.
Le mineur, issu d'une famille pauvre de six enfants, était employé pour nettoyer le bus dans lequel le viol a eu lieu. Il y dormait souvent pour ne pas passer les nuits dans la rue. Il aurait quitté son domicile pauvre dans un village du nord de l'État de l'Uttar Pradesh à l'âge de 11 ans pour vivre à New Delhi de petits boulots, jusqu'à ce qu'il trouve le travail de nettoyage de l'autobus.

Selon certaines estimations, les quelques 20 millions d'habitants de Pékin produisent chaque jour près de 18.000 tonnes de déchets ménagers (contre "seulement" 3000 tonnes à Paris).
Et si les autorités chinoises tentent de renforcer les capacités de traitement de la ville (une directive ministérielle a notamment limité le nombre de mouches autorisées dans les toilettes publiques...), Pékin reste considérée comme une des capitales les plus sales au monde.
Dans le métro de Pékin, une belle initiative, relayée ces derniers jours par plusieurs blogs et sites internet, répond ingénieusement à ce gigantesque défi.
Depuis la fin 2012, d'étonnants distributeurs de tickets de métro ont été installés. Nul besoin de sortir votre portefeuille pour acheter le sésame, vingt bouteilles en plastiques suffiront.
Comment ça marche ? Vous insérez la bouteille dans la machine. Celle-ci la compresse en vingt secondes et crédite 1 mao sur votre titre de transport, soit 10 centimes de Yuan. Un ticket de métro à Pékin coûtant 2 yuan (0,25 euros environ), il vous faudra répéter l'opération vingt fois pour voyager gratuitement.
A terme, indique urbanews.fr, la firme chinoise à l'origine du projet envisage d’installer 3000 appareils à travers la ville, sur d’autres lignes de métro, dans les écoles, aux arrêts de bus ou dans les centres commerciaux.
Le même procédé pourrait aussi être mis en place pour le recyclage des canettes métalliques…
Il ne faut pas voyager trop loin, autrement pour transporter les bouteilles plastiques il leur faudra une remorque ! ( lol )
Autrement c'est une bonne idée pour l'incitation au recyclage des déchets.
Je vous laisse avec Hilda, en vous souhaitant un bon dimanche !
Pauvre petit chien....