Mardi 27 Août 2013
14°C
20°C
Un ciel très nuageux pour entamer cette journée qui finira sous les grondements du tonnerre....
Bahhhhh ! ça j'aime pas !
Je vais devoir me couper du monde...
La blague du jour
Le cauchemar
- J’ai fait un cauchemar épouvantable, raconte une femme à son mari. On se promenait, tous les deux, dans le parc
municipal, quand surgissait Brad Pitt. Et tu ne devineras jamais ce qu’il me disait ?
- Non.
- Je vais te violer.
- Ça ne paraît pas trop méchant, comme cauchemar, fait le mari en ricanant.
- Si, parce que toi, pour défendre mon honneur, tu te battais avec lui… Et, dans mon rêve, c’est toi qui gagnais.
Du plastique dans l'andouillette à Libourne : un "incident isolé"
Le PDG du leader français du marché de l'andouillette affirme que le "zéro défaut" est difficile à tenir. Un habitant de Saint-Denis-de-Pile avait retrouvé du plastique en faisant cuire un morceau d'andouillette.
Le patron de la société AT France revient sur le morceau de plastique retrouvé dans une andouillette
Interrogé par l'Est éclair, Dominique Lemelle, patron de la société AT France, basée dans l'Aube, revient sur le
morceau de plastique retrouvé dans une andouillette par un consommateur dans un Lidl de Libourne.
Selon le PDG du leader français du marché de l'andouillette, "c'est extrêmement rare, mais ça peut arriver."
La semaine dernière, un habitant de Saint-Denis-de-Pile avait retrouvé du plastique bleu en faisant cuire un morceau
d'andouillette.
"Nous utilisons du plastique bleu pour l'emballage des matières premières afin qu'il soit reconnaissable. Mais c'est
tout un processus que nous avons mis en place afin que rien ne rentre durant la fabrication", explique Dominique Lemelle.
Détecteurs de métaux sur les lignes, contrôle visuel ou lien tracé avec les abattoirs seraient notamment mis en place
au sein de l'entreprise.
"Le zéro défaut est difficile à tenir, reprend-il. Nous produisons 80 000 andouillettes par jour, 400 000 par
semaine. Nous nous efforçons de tenir ce cap au quotidien, mais une ou deux fois par an, un incident survient (...) Ce sont des cas bien évidemment regrettables mais très rares et
isolés."
Faudrait pas non plus nous prendre pour des andouilles !
Un salaud à titre posthume ?
France 3 révèle que les ADN d'Allison et Marie-Josée Benitez, dont personne n'a de nouvelles depuis le 14 juillet, ont été découverts dans un congélateur et un lave-linge qui appartenaient à Francisco Benitez, père et mari des disparues.
D'une part, une trace de sang a été retrouvée dans le congélateur du domicile familial des Benitez à Perpignan. Cette trace correspond à l'ADN d'Allison, 19 ans. Cet appareil aurait été vidé de son contenu et nettoyé par Francisco Benitez. L'ancien militaire aurait aussi lavé un tapis à grandes eaux.
Quant au lave-linge, l'ADN d'Allison, et vraisemblablement celui de sa mère, Marie-Josée, ont été identifiés.
Les policiers sont plongés dans une enquête minutieuse, cherchant à faire parler les portables, ordinateurs, caméras de vidéosurveillances et autre relevés d'analyse pour élucider ce qu'il s'est passé le 14 juillet.
Ce jour-là, Allison, 19 ans, candidate à l'élection de Miss Roussillon, et sa mère de 53 ans, épouse trompée du légionnaire Francisco Benitez, ont disparu.
"Il n'y a aucune raison de croire à une autre explication que criminelle", résumait récemment une source proche du dossier.
Les soupçons se sont concentrés sur le père d'Allison, l'adjudant-chef aux états de services exemplaires et à la vie privée compliquée.
Charente-Maritime : un enfant de 7 ans oublié dans un bus de ligne.
Un salarié de la régie de bus a ramené l’enfant au centre de loisirs d'Aytré, près de La Rochelle. Trois animatrices ont été mises à pied
C’est une erreur de comptage qui pourrait coûter cher à trois animatrices du centre de loisirs d’Aytré. Jeudi dernier, de retour d’une sortie au parc avec un groupe d’enfants, elles ont tout simplement mal compté et oublié un petit de 7 ans dans un bus, sur une ligne régulière.
L’enfant a un peu pleuré quand il s’est aperçu que le groupe était parti sans lui, raconte Émilie Bout, la nouvelle présidente de la Société laïque d’éducation populaire (SLEP) qui gère le centre.
Heureusement, il a été très vite rassuré par les adultes, la RTCR (Régie des transports communautaires rochelais) a pris les choses en main et un salarié l’a ramené au centre de loisirs où sa maman l’a tout de suite récupéré.
Plus de peur que de mal mais l’erreur est trop grave pour que les choses s’arrêtent là.
Dès le lendemain, les trois animatrices ont été convoquées et mises à pied à titre conservatoire, explique Émilie Bout qui annonce de probables sanctions disciplinaires dont les intéressées vont être prochainement informées.
La SLEP a également contacté la famille de l’enfant pour prendre de ses nouvelles et proposer de financer un suivi psychologique si nécessaire. Déjà mise en cause dans une affaire d’attouchements sexuels entre enfants dans un centre de vacances en Charente, l’année dernière, et accusée de laxisme, l’association aytrésienne n’a plus le droit à l’erreur.
La SLEP accueille près de 650 enfants en centre de loisirs et périscolaire, emploie 16 salariés à temps plein et gère un budget de 700 000 euros. Depuis plusieurs années, des parents se plaignent régulièrement de dysfonctionnements au sein de l’association, du manque d’expérience du personnel ou encore d’un trop grand turnover des animateurs.
Une réputation que la présidente, élue il y a deux mois, espère faire évoluer avec la nouvelle équipe du conseil d’administration arrivée aux commandes au printemps dernier.
Nous sommes un certain nombre de parents utilisateurs du centre de loisirs, entrés récemment au CA pour améliorer les choses sur le fond, détaille Émilie Bout.
Les parents de l’enfant resté seul dans le bus ne porteront pas plainte mais comptent écrire au procureur de la République et à la mairie d’Aytré, pour les informer de l’incident.
Avant l'embauche de ces monitrices, il aurait fallu s'assurer qu'elles savaient compter au moins jusqu'à 30 !
Je vous souhaite une bonne journée !