Jeudi 25 Juillet 201320°C
30°C
Du soleil... mais quelle chaleur !!!
Je me couche en nage et m'éveille en nage ! les douches ne sont bénéfiques que quelques instants...
Malgré les précautions d'usage en cas de fortes chaleurs, le thermomètre de mon appart affiche allègrement les 30°C du matin au soir ! Il n'en démord pas !
Plus soif que faim, les repas n'en sont que frugaux : une salade de tomates bien fraîche suffit à me rassasier et surtout pas envie de manger du "chaud" !
Nada Al-Ahdal, 11 ans : "Mariez-moi de force et je me tuerai"
Nada Al-Ahdal, une petite Yéménite, explique dans une vidéo pourquoi elle ne veut pas être mariée.
Nada Al-Ahdal, 11 ans, refuse d'être mariée de force et le dit au monde entier. Cette enfant qui vit au Yémen a diffusé, début juillet sur YouTube, une vidéo dans laquelle elle explique pourquoi elle ne veut plus voir ses parents et souhaite rester vivre avec son oncle. Sa vidéo a été traduite en anglais et republiée, dimanche 21 juillet, par l'Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (Memri).
"Que faites-vous de l'innocence des enfants ? Qu'ont-ils fait de mal ? Pourquoi les marier ainsi de force ?", demande la fillette, assise dans une voiture, face à la caméra, avant d'expliquer que les mariages forcés sont très fréquents au Yémen, et que des enfants "se jettent à la mer" à cause de ça. "Si vous me mariez, je n'aurai pas de vie, pas d'éducation", ajoute-t-elle, en s'adressant directement à ses parents. "Allez-y, mariez-moi de force et je me tuerai !", leur dit-elle.
L'oncle de Nada, Abdel Salam Al-Ahdal, qui a élevé la fillette depuis ses 3 ans, explique au site d'information libanais Now (en anglais) pourquoi il a aidé sa nièce, une première fois, lorsque ses parents ont voulu la marier à un Yéménite expatrié en Arabie saoudite. "Je ne pouvais pas les laisser la marier de force et détruire son futur. Surtout alors que sa tante a été mariée à 13 ans et s'est immolée par le feu, raconte-t-il. J'ai appelé le marié pour lui dire que Nada n'était pas pour lui."
Après ce premier refus, les parents de Nada ont prétexté vouloir passer le ramadan avec leur fille, afin que son oncle la laisse rentrer chez eux.
Là, toujours selon Now, la fillette a déguerpi et à nouveau trouvé refuge chez son oncle, avant de publier cette vidéo, dans laquelle elle dit à ses parents : "J'en ai fini avec vous."
C'est dans leur coran à ces gens là, qu'ils doivent forcer des petites filles à se marier ?
Sûrement pas !!! Honte à eux !
Espagne : au moins 77 morts et 143 blessés dans le déraillement d'un train.
Plusieurs wagons sont sortis de la voie, s'empilant les uns sur les autres. Le train inter-cités de 13 wagons était bondé pour la fête régionale de l'apôtre.
"Il y a un wagon déchiqueté" et "les cadavres sont sur les voies", a déclaré hier soir le président de la région de Galice, Alberto Nuñez Feijoo, à la radio Cadena Ser, évoquant une "scène dantesque". a-t-il ajouté.
Les conducteurs sont légèrement blessés.
Une vitesse excessive
Une tragédie qui pourrait être due à une vitesse excessive, selon le journal espagnol, El Mundo. D'après le quotidien, le délégué du Gouvernement en Galice, Samuel
Juarez, a indiqué qu'au moment de l'accident le train allait à 220 km/h, alors que la vitesse maximale à ce niveau est de 80 km/h. Le quotidien El Pais évoque pour sa part une vitesse de 180
km/h.
El Pais explique que le train Alvia 151 - équivalent espagnol du TGV - reliant Madrid à la ville portuaire de Ferrol (Galice), est sorti des rails vers 20h42 dans un virage serré près
d'un pont, à Angrois, à quatre kilomètres de la gare de Saint-Jacques de Compostelle.
Il transportait 238 voyageurrs. L'avant-dernier wagon aurait été complétement détruit. Plusieurs corps ont été retrouvés autour de l'épave. Une épaisse colonne de fumée s'échappait des wagons pendant que les secouristes s'activaient pour sortir les victimes bloquées à l'intérieur des voitures.
L'accident s'est produit à la veille du jour de la Saint-Jacques, saint patron des Galiciens, une fête traditionnelle dans cette région.
Une tragédie ! Sur les 238 passagers très peu en sont sortis indemnes...
Tandis qu'à Bretigny : Il y a bien eu des vols.
Le procureur d'Evry a confirmé qu'au moins deux passagers et un médecin ont été victimes de vols après le déraillement.
L'info. Il ne s'agit pas d'un phénomène "généralisé" mais des vols ont bien été commis après le déraillement du train Paris-Limoges, le 12 juillet dernier, a confirmé mercredi le procureur d'Evry, Eric Lallement. Selon lui, au moins deux passagers du train et un urgentiste qui intervenait sur place ont été victimes de vols. Tandis que les pompiers ont été visés par des jets de cailloux. Le procureur a qualifié ces faits "d'actes inqualifiables", mais a précisé qu'ils n'étaient pas "systématiques ou multipliés", et que la société devait "rechercher les responsables de ces actes".
Des objets retrouvés à Paris.
"Nous avons la certitude que deux vols au préjudice de deux personnes" ont été commis, a déclaré le procureur. Une veste avec un portefeuille et un chéquier appartenant à une victime ainsi qu'un agenda et une facture d'ordinateur appartenant à une autre victime ont ainsi été retrouvés après la catastrophe à la gare RER du Châtelet, au coeur de Paris, a précisé le magistrat. Ces deux victimes ont du reste signalé qu'il leur manquait un téléphone portable et un ordinateur.
Sans bagage, puis avec...
A Limoges, une plainte a aussi été déposée par un passager du train Paris-Limoges pour le vol d'un ordinateur qu'il n'a pas retrouvé dans les bagages qu'il avait récupérés sur place. Les "bandes vidéos" visionnées par les enquêteurs montrent par ailleurs "qu'une ou deux personnes" sont sorties de la gare après la catastrophe "avec des bagages" qu'elles n'avaient pas au moment d'y entrer, avant le déraillement du train, a précisé le procureur.
Une altercation avec des jeunes.
Enfin, un médecin du Samu a porté plainte pour vol et violences. Peu après la catastrophe, cet urgentiste avait été appelé par un groupe de jeunes qui souhaitaient qu'il porte assistance à une de leurs amies, qui n'avait rien à voir avec l'accident. Il "a refusé" en faisant valoir qu'il devait prendre en charge les victimes du déraillement. "Une altercation s'en est suivie", a affirmé Eric Lallement.
Cailloux et canettes jetés.
Le procureur est ensuite revenu sur les informations faisant état de jets de projectiles ou de caillassage dont auraient été la cible les forces de l'ordre et les secouristes. "Des cailloux ont été projetés en direction de cinq sapeurs-pompiers par un petit groupe de jeunes", dans les minutes qui ont suivi la catastrophe, a-t-il précisé. Ce groupe a été dispersé par les forces de l'ordre et il n'y a pas eu d'autres jets de cailloux ensuite. Deux heures après, néanmoins, alors que les forces de l'ordre tentaient d'élargir le périmètre de sécurité, un agent de police a constaté le "jet de deux canettes en direction des forces de l'ordre" sans que ces jets de projectiles ne fassent de victimes.

Il y avait donc bien des "rapaces" ! Honte à eux !
Un suspect arrêté vingt ans après le meurtre de deux fillettes en Isère.
Un homme de 37 ans a été interpellé mardi à son domicile de Voreppe (Isère) dans le cadre de l'enquête sur la mort de deux fillettes en 1991 et 1996, selon une information du Dauphiné Libéré.

Des analyses ADN vont peut être permettre d'élucider deux meurtres commis il y a plus de 17 ans.
Un homme de 37 ans a été interpellé mardi à son domicile de Voreppe (Isère) dans le cadre de l'enquête sur la mort de deux fillettes en 1991 et 1996, selon une source proche de l'enquête confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Des analyses effectuées par un laboratoire de Bordeaux auraient permis d'identifier un suspect à partir d'ADN et d'empreintes digitales prélevées sur les deux scènes de crimes.
L'homme a été placé en garde à vue dans les locaux de la section de recherches de Grenoble, a-t-on appris de même source.
Le procureur de Grenoble, qui n'était pas immédiatement joignable mercredi soir, devrait tenir une conférence de presse sur le sujet jeudi, selon la même source.
D'après Le Dauphiné Libéré, le suspect devrait être présenté jeudi matin au juge chargé de ces deux dossiers, qui sont liés, "tant le mode opératoire, le lieu des crimes et les profils des victimes étaient semblables", indique le quotidien régional.
Le 16 avril 1991, Sarah Syad, 6 ans, avait disparu alors qu'elle jouait près de son domicile à Voreppe.
Elle a été violée et étranglée. Son corps a été retrouvé dans un bois non loin de chez elle.
Le 24 novembre 1996, Saida Berch, 10 ans, avait disparu entre son domicile et un gymnase à Voreppe. Son corps avait été retrouvé au bord d'un canal.
Sarah et Saïda.
Et pour finir plus légèrement : l'héritier à enfin un prénom :
Ce sera :
George, Alexander, Louis
Et dire que j'avais parié pour "Georgia" en cas d'une fille !
Je vous souhaite une bonne journée !